jeudi 6 décembre 2007

TD n°2


mardi 4 décembre 2007

TD n°1


lundi 3 décembre 2007

Le lexique

LEXIQUE

Acyclique : se dit d’un corps à chaîne linéaire ramifiée ou non.

Cyclique : se dit d’un corps à chaîne cyclique ramifiée ou non.

Formule brute : indication sous forme compacte de la nature e du rapport des éléments présents (composition en C, H, O, .. de la substance). Ne donne aucun renseignement sur la façon dont sont liés les atomes.

Groupements fonctionnels : groupements d’atomes impliquant des propriétés qui se retrouveront dans toutes les molécules qui les contiennent. Chaque groupement fonctionnel est définit par une fonction.

Hybridation : 3 formes d’hybridation :
-Sp3, implique 1 orbitale s et 3 orbitale p
-Sp2, implique 1 orbitale 2s et 2 orbitale p
- Sp, implique 1 orbitale 2s et 1 orbitale p.
Tétravalent : a besoin de 4 électrons supplémentaire pour compléter l’octet.
Ex : le Carbone.

samedi 1 décembre 2007

Relation structure - Réactivité

RELATION STRUCTURE – REACTIVITE.

La réactivité d’une molécule est essentiellement liée au type et à la nature de la liaison chimique existant entre les atomes.

A – Polarité et polarisabilité d’une liaison chimique.
La notion de polarité est une notion qui est principalement liée à l’électronégativité* des atomes.
En plus de la liaison existant entre polarité et électronégativité des atomes, il existe une autre dimension dynamique du moment dipolaire d’une liaison chimique. C’est ce qu’on appelle le moment dipolaire qui mesure l’aptitude des électrons d’une liaison à se déplacer autour de cette liaison, et à modifier la forme du nuage électronique. Les atomes à fort numéro atomique (possédant des électrons externes moins retenues par le noyau) donnent en général des liaisons plus polarisables.

B – Mésomérie
Le principe de la mésomérie est caractérisé par la possibilité de délocalisation au sein d’une molécule d’électron *

Les formes mésomères sont caractéristiques des molécules planes, hybridation* sp2 (des carbones concernés) permettant le déplacement des électrons responsables des formes mésomères.


Propriétés :
1) _ Aucune des formes mésomères limites d’une molécule n’a d’existence réelle.
2) _ Chaque formes mésomères limite d’une molécule ne contribue pas nécessairement de la même façon à la forme réelle de la molécule
3) _ Les formes mésomères limites ne comportant pas de charge sont plus représentative de celle qui en comporte. Concernant, pour les formes limites chargées, les plus stables sont celles qui ont les charges les plus éloignées possible au sein de la molécule.
4) _ En général, les formes mésomères limites porteuses de charges mettront en accord l’électronégativité des atomes qui le constituent avec les charges portés par ces atomes.


C – Interaction électronique


1) _ Effet inducteur

Une molécule quelque soit peut toujours être considéré comme dérivant d’une molécule plus simple dans laquelle on a substituée un atome d’hydrogène par un autre atome ou par un groupement d’atome (ex : CH3).
Par rapport à cette molécule simple, soit cet atome ou ce groupement d’atomes entraine la diminution de la densité électronique sur le reste de la molécule, dans ce cas on dit que cet atome à un effet attracteur d’électron ou un effet inducteur noté I- .
Ou soit cet atome entraine l’augmentation de la densité électronique, dans ce cas on parle d’effet repousseur d’électron ou effet inducteur noté I+ .

2) _ Effet mésomère
Les effets mésomères concernent les déplacements d’électrons d’un groupement vers le reste de la molécule sur laquelle ils ont positionnés.
Soit cet effet est un effet donneur d’électron, on dira que l’on a affaire à un effet mésomère M+ , ou soit l’effet est attracteur d’électrons, on dira qu’on a affaire à un effet mésomère M - .

Exemple :Effet mésomère par ordre croissant